« Le
but de l’enseignement n’étant plus la formation de l’esprit, mais l’acquisition
du diplôme, c’est le minimum exigible qui devient l’objet des études. »
Paul Valéry, Le bilan de l’intelligence, in
Variété III, p.276
Voilà une assertion qui aura le mérite de
rendre un peu plus diaphane l’objet premier
de cet espace, l’élargissement d’horizons littéraires, prenant pour garants des
écrits d’une profondeur quelquefois insoupçonnée. Pour ce faire, il n’offre
des aspects théoriques qu’accompagnés de textes qui,
outre que leur médiocre revers est d’allonger la lecture, possèdent le
merveilleux endroit de faire aimer la littérature. Plus précisément, l’espace a
pour cause finale l’accès à la beauté
et l’intelligence du texte grec. Il est un à rebours.
Peut-être alors verrons-nous, lors d’une
heureuse confrontation sous laquelle dorment des étincelles, quelques trames
qui sous-tendent ce que depuis peu nous appelons « littérature ».
